La revue
Le manifeste de Participations. Revue de sciences sociales sur la démocratie et la citoyenneté peut être téléchargé ici.
La question de la participation citoyenne aux négociations et aux débats publics, ainsi qu’aux processus d’expertise et de décision, est devenue un objet central et transversal pour la recherche en sciences humaines et sociales, au point de justifier la création d’une revue susceptible de refléter la diversité de ces travaux. La revue Participations, première du genre en langue française, a l’ambition de mobiliser les regards et les apports des différentes disciplines concernées (sociologie, science politique, philosophie, histoire, urbanisme, géographie, psychologie sociale, sciences de l’information et de la communication, économie, etc.) sur cet objet commun qu’est la participation du public aux choix collectifs dans les démocraties contemporaines et ce sans exclusive théorique ou méthodologique. La création de cette revue s’inscrit dans une structuration de ce champ de recherches, comme l’atteste l’apparition du GIS Démocratie et participation, qui soutient activement la revue.
Participations est ouverte aux contributions tant théoriques qu’empiriques touchant à la démocratie participative, aux conditions de la délibération, aux transformations des formes et des pratiques de citoyenneté, à la structuration de l’espace public, à la gouvernance urbaine, à l’engagement du public dans les processus décisionnels, à la démocratie sociale, technique ou médicale, aux controverses sociotechniques ou à l’évaluation des outils et dispositifs participatifs.
La revue se veut interdisciplinaire, et cherche à rassembler des contributions de l’ensemble des sciences humaines et sociales relatives à ces questions. Revue francophone, Participations vise à permettre des échanges entre différentes communautés de chercheurs (France, Belgique, Québec, Suisse, etc.) tout en restant ouverte aux articles de chercheurs non-francophones.
Directeur de publication :
Loïc Blondiaux (Université Paris 1)
Directeurs de rédaction :
Paula Cossart (Université de Lille)
Samuel Hayat (CNRS/Cevipof)
Comité de rédaction :
Romain Badouard (Université Paris 2)
Emmanuelle Bouilly (Université de Lille)
Marion Carrel (Université de Lille)
Jeanne Demoulin (Université Paris Ouest Nanterre)
Emilie Frenkiel (Université Paris Est Créteil)
Guillaume Gourgues (Université Lyon 2)
Maïté Juan (CY Cergy Paris Université)
Brice Laurent (Mines ParisTech)
Alice Le Goff (Université Paris 5)
Julie Le Mazier (Université Paris 1)
Clément Mabi (Université de Technologie de Compiègne)
Alice Mazeaud (Université de La Rochelle)
Patrice Melé (Université de Tours)
Héloïse Nez (Université Paris Cité)
Guillaume Petit (Université Catholique de Louvain, Vrije Universiteit Brussel)
Marie-Hélène Sa Vilas Boas (Université Nice Sophia Antipolis)
Laura Seguin (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement)
Gaël Stephan (Université de Lorraine)
Julien Talpin (CNRS/Ceraps)
Federico Tarragoni (Université de Caen)
Sezin Topçu (CNRS/CEMS)
Pierre-Etienne Vandamme (FNRS/Université libre de Bruxelles)
Comité éditorial :
Rocio Annunziata (Université de Buenos Aires) ; Rémi Barbier (ENGEES Strasbourg) ; Marie-Hélène Bacqué (Université Paris 10) ; Mathieu Berger (Université Libre de Bruxelles) ; Laurence Bherer (Université de Montréal) ; Jean-Nicolas Birck (Université Nancy 2) ; Daniel Cefai (EHESS) ; Francis Chateauraynaud (EHESS) ; Cécile Cuny (Université Paris 8) ; Ludivine Damay (Facultés Universitaires Saint-Louis) ; Katherine Daniell (Australian National University) ; Laurence de Carlo (ESSEC) ; Marianne Doury (CNRS) ; Amélie Flamand (École Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont-Ferrand) ; Jean Michel Fourniau (IFSTTAR) ; Mario Gauthier (Université du Québec) ; Charles Girard (Université Lyon 3) ; Cécile Laborde (University College London) ; Pierre Lascoumes (IEP Paris) ; Sylvain Lavelle (ICAM Lille) ; Rémi Lefebvre (Université Lille 2) ; Markku Lehtonen (Université du Sussex) ; Gwenola Le Naour (IEP de Lyon) ; Eeva Luhtakallio ; (Université d’Helsinki) ; Laurence Monnoyer Smith (UTC Compiègne) ; Catherine Neveu (CNRS/EHESS) ; Magali Nonjon (Université d’Avignon) ; Marion Paoletti (Université de Bordeaux 4) ; Sandrine Rui (Université Bordeaux Segalen) ; Louis Simard (Université d’Ottawa) ; Yves Sintomer (Université Paris 8) ; Rodolphe Vidal (ESSEC) ; Tommaso Vitale (IEP Paris) ; Stéphanie Wojcik (Université Paris 12)
Secrétaire de rédaction :
Muriel Parès (CNRS/Ceraps)
Comité scientifique international :
Leonardo Avritzer (Federal University of Minas Gerais)
Gianpaolo Baiocchi (Brown University, Providence)
Luiggi Bobbio (Université de Turin)
Luc Boltanski (Ehess)
Michel Callon (École des Mines de Paris)
Stephen Coleman (University of Leeds)
Donatella Della Porta (European University Institute)
John Dryzek (Australian National University, Canberra)
Nina Eliasoph (University of Southern California)
Joan Font (IESA-CSIC, Cordoue)
Nancy Fraser (The New School For Social Research)
John Gastil (Penn State University)
Brigitte Geissel (Goethe University, Francfort)
Pierre Hamel (Université de Montréal)
William Keith (University of Wisconsin-Milwaukee)
Les Levidow (Open University)
Dominique Leydet (Université du Québec à Montréal)
Marc Maesschalck (Université Catholique de Louvain)
Bernard Manin (Ehess)
Jane Mansbridge (Harvard University)
Kevin Mattson (Ohio University)
Chantal Mouffe (University of Westminster)
Diana Mutz (University of Pennsylvania)
Ioannis Papadopoulos (Université de Lausanne)
Dominique Pestre (Ehess)
Pierre Rosanvallon (Collège de France)
Patrick Savidan (Université de Poitiers)
Isabelle Stengers (Université Libre de Bruxelles)
Jurg Steiner (University of North Carolina, et Université de Berne)
Michael Schudson (Columbia University)
Gerry Stoker (Southampton University)
Lawrence E. Susskind (Massachusetts Institute of Technology)
Mark E. Warren (University of British Columbia)
Brian Wynne (Université de Lancaster)