Soumettre un article
Les articles soumis pour publication doivent être envoyés à : variaparticipations@gmail.com.
Toute autre requête doit être envoyée à redacparticipations@gmail.com.
La revue Participations publie des réflexions sur les formes de participation du public aux processus décisionnels dans les démocraties contemporaines. Les articles publiés mobilisent les différents regards des sciences humaines et sociales en explicitant leurs approches théoriques et méthodologiques. Le critère fondamental de publication est l’apport du texte à la connaissance existante sur la participation publique. Le comité de rédaction rappelle son attachement aux critères académiques en vigueur dans les revues de référence en sciences humaines et sociales. Ces critères impliquent notamment : une recension de littérature, une problématique ou question de recherche, une méthodologie sérieuse et claire, et des résultats de recherche exposés dans une structure de texte lisible et cohérente.
Après avis de lecture interne, les articles soumis sont évalués de façon anonyme par deux relecteurs ou relectrices : un·e membre du comité éditorial de la revue, et une personne extérieure. Si l’article est soumis par un·e membre du comité éditorial, les deux évaluateurs ou évaluatrices seront externes au comité éditorial.
Une réponse est donnée aux auteur·es dans un délai de 4 mois.
FORMATS
Chaque article doit être envoyé en deux fichiers Word :
– le premier est constitué des nom et prénom, adresse postale, adresse électronique, statut et institution de rattachement de l’auteur·e, ainsi que d’une courte présentation, mentionnant quelques publications récentes (650 signes).
– le deuxième est constitué, dans l’ordre : du titre et du résumé en français (650 signes), suivi du texte de l’article, puis du titre en anglais, résumé en anglais, mots-clés en anglais et des mots- clés en français. Il doit être parfaitement anonymisé : les remerciements, références aux publications de l’auteur·e, etc. doivent être supprimés dans cette version (et pourront être réintroduits par la suite).
Un article soumis pour un dossier doit comporter entre 50 000 et 80 000 (signes, espaces, notes de bas de page et résumé compris), en discussion avec le coordinateur ou la coordinatrice du dossier. Un article soumis à la rubrique « varia » ne doit pas dépasser 60 000 signes. Un article soumis à la rubrique « lectures critiques » ne doit pas excéder 30 000 signes.
Images : La revue Participations est imprimée en noir et blanc exclusivement. Les images en couleur sont possibles, mais ne seront pleinement exploitables qu’en ligne. La question de codes couleur également lisibles sur papier doit donc avoir été traitée en amont de la rédaction du texte. Les images doivent être fournies sous forme de fichiers séparés, de préférence en format eps ou jpeg en haute définition.
En cas d’emprunt d’images à des publications tierces, elles doivent être créditées dans le texte. Pour des questions de propriété intellectuelle, les autorisations doivent en avoir été obtenues au préalable auprès des ayants droits.
PRÉSENTATION
Le corps du texte doit être rédigé en Times, corps 12 (titre : corps 16 ; sous-titre : corps 14), interligne simple. Les notes de bas de page sont en Times, corps 10. Le texte doit être justifié.
Le texte ne comporte que deux niveaux de subdivision : section (en gras), sous-section (en italique). Dans la mesure du possible, les titres et sous-titres doivent être courts. Ne pas mettre de point après les titres.
L’usage des italiques est réservé exclusivement aux mots appartenant à d’autres langues que le français. L’usage du gras est réservé exclusivement aux titres des sections.
Les majuscules sont accentuées. Les espaces précédant les ponctuations doubles (: ; ? !) et les guillemets français (en chevrons « ») sont insécables (automatique en principe sous Word, sinon : ctrl+maj.+ barre d’espacement).
Pas de mises en forme additionnelles.
Notamment : pas de retrait en début de paragraphe, pas d’indentation des notes de bas de page, pas de feuilles de style ou des logiciels tels qu’EndNote, pas de sauts de lignes entre les paragraphes.
À la première mention d’un nom d’auteur·e, indiquer le prénom. Lors des mentions suivantes, indiquer seulement l’initiale du prénom.
FÉMINISATION DES TEXTES
Participations est favorable à l’écriture inclusive. En effet, le comité de rédaction estime que cette technique d’écriture permet :
– de ne pas véhiculer des préjugés sexistes embarqués, qui sont contraires aux valeurs de la revue,
– de ne pas propager d’injonctions implicites de masculinisation,
– et de visibiliser les femmes dans l’espace public quand elles y sont présentes.
Étant donné qu’il est très difficile et chronophage de réécrire un texte rédigé en amont en écriture non inclusive, la revue Participations ne peut prendre ce travail en charge, qui est trop pénalisant en termes de calendrier de parution. C’est pourquoi les articles qui ne respecteraient pas ces consignes a minima seront retournés pour être repris par leurs auteur·es. Les membres du comité de rédaction et le secrétariat de rédaction de la revue pourront les accompagner dans la recherche des solutions les plus adaptées en fonction du contexte scientifique du texte, sans effectuer le travail de reprise à leur place.
De façon générale, les membres du comité de rédaction incitent à interroger les pratiques d’écriture et à expliquer consciemment les choix qui y sont engagés. Il peut ainsi y avoir une pertinence à adopter telle ou telle technique d’écriture, mais de tels choix gagnent alors à être assumés et explicités, au bénéfice de la pertinence sociologique de l’analyse.
Dans ce cadre, la revue Participations accueille les différentes techniques d’écriture inclusive1, à condition qu’elles soient utilisées de façon conscientisée et cohérente tout au long du texte et qu’elles préservent la lisibilité de celui-ci.
L’une de ces techniques consiste à employer des termes épicènes et génériques2 et des tournures neutres3. Ex. : « l’électorat », plutôt que « les électeurs ».
La féminisation des noms de métiers, titres, grades et fonctions suivra les préconisations du guide Femme, j’écris ton nom, publié par l’INALF (Institut national de la langue française) en 19994.
Exemple : « Il entretient une relation directe avec la maire, Martine Aubry », et non « Il entretient une relation directe avec le maire, Martine Aubry »…
S’il existe plusieurs possibilités, il y a liberté de choix à condition de garder une homogénéité au fil du texte. Par exemple, on peut choisir entre « auteure » ou « autrice », à condition de conserver la même dénomination du début à la fin du document.
Le point médian5 est à employer avec parcimonie, pour ne pas nuire à la fluidité du texte. Il sera de toute façon préféré à des tirets, parenthèses ou barres obliques. Ex. : « les député·es », « les participant·es », « les citoyen· nes », « les militant·es »… Au pluriel, on utilisera un seul point médian et non deux (pas d’« élu·e·s », etc.).
Parfois (dans le cas de certains noms masculins se terminant par les suffixes -er, -eur, -teur), les deux formes masculine et féminine seront indiquées au long. Ex. : « les travailleurs et les travailleuses », et non « les travailleur·es » ; « les directeurs et les directrices », et non « les directeurs·ices » ; « les conseillers et les conseillères », et non « les conseiller·es »…
L’accord des adjectifs et des participes passés se fera soit au masculin, soit au féminin, soit en suivant la règle de la proximité ou de la majorité, mais de façon constante dans tout le texte. Une autre technique est d’éviter les adjectifs en les transformant en participes présents ou en utilisant la voix active (ex : « désirant » et non « désireux de », « Si vous ne pouvez assister », au lieu de « Si vous ne pouvez être présent).
Les notes de bas de page explicatives (comme : « Dans le présent texte, certains mots de genre masculin appliqués aux personnes désignent les hommes et les femmes », ou bien « Dans le présent texte, le masculin peut parfois être employé comme genre neutre pour désigner aussi bien les femmes que les hommes »…) seront utilisées comme un pis-aller en début de texte, quand les autres techniques auront échoué à restituer correctement ce que l’on souhaite exprimer.
Dans tous les cas, ce choix devra être explicité en note de bas de page, par exemple : « Soixante-dix pour cent des députés étant des hommes, nous avons adopté le genre masculin les concernant. »
Pour d’autres points techniques, on se reportera au site canadien Outils d’aide à la rédaction, page « Écriture inclusive », qui est très complet sur le sujet : https://www.noslangues-ourlanguages.gc.ca/fr/cles-de-la-redaction/ecriture-inclusive-lignes-directrices-ressources (accès le 30/08/2024).
1 Voir Gouvernement du Canada, page « Écriture inclusive », Outils d’aide à la rédaction, https://www.noslangues-ourlanguages.gc.ca/fr/cles-de-la-redaction/ecriture-inclusive-lignes-directrices-ressources (accès le 30/08/2024).
2 Épicène : se dit d’un nom qui a la même forme aux deux genres.
3 Office québécois de la langue française, « Liste de termes épicènes ou neutres », Banque de dépannage linguistique, http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?id=5465 (accès le 22/08/2022).
4 INALF (Institut national de la langue française), 1999, Femme, j’écris ton nom… Guide d’aide à la féminisation des noms de métiers, titres, grades et fonctions, https://www.vie-publique.fr/rapport/25339-guide-daide-la-feminisation-des-noms-de-metiers (accès le 30/08/2024).
5 Le point médian ne doit pas être confondu avec le point de fin de phrase : en effet, le « point milieu » est placé au-dessus de la ligne de base. Raccourci clavier : Alt 0183.
RÉFÉRENCES
Dans le corps du texte :
Elles apparaissent en cours d’article dans le corps du texte et se réduisent à la mention, entre parenthèses, du nom de l’auteur·e, de la date de la publication, et le cas échéant du numéro de page.
Pour chaque référence, le nom de l’auteur·e (sans initiale), la date de publication et la pagination sont séparés par des virgules. Les références multiples au sein d’une même parenthèse sont séparées par des points virgules.
Pour les ouvrages classiques, et lorsque l’auteur·e le juge nécessaire, la date de première parution de l’ouvrage est indiquée entre crochets après la date de l’édition citée.
Le format est le suivant :
– renvoi à un texte signé par un ou une auteur·e :
• (Pitkin, 1967, p. 10)
• (Michel, 2002 [1886])
– renvoi à un texte signé par deux ou trois auteur·es :
• à la première mention : (Lagroye, Offerlé, 2011)
• pour les mentions suivantes : (Lagroye et al., 2011)
– renvoi à un texte signé par quatre auteur·es ou plus :
• dès la première mention : (Iyengar et al., 2005)
– renvoi à plusieurs textes : (Habermas, 2001a, p. 87 ; Iyengar et al., 2005)
Si plusieurs textes d’un ou d’une même auteur·e publiés la même année se trouvent dans la bibliographie, ajouter les lettres a, b, c, etc. après l’année de publication :
• (Habermas, 2001a)
• (Rousseau, 1964b [1762])
Une parenthèse située juste après le nom de l’auteur·e n’a pas besoin de répéter son nom.
Ex. : C’est précisément ce qu’affirme Hanna Pitkin (1967, p. 10).
Si une citation ou référence renvoie de manière explicite et non ambiguë au texte déjà cité dans la parenthèse précédente au sein du même paragraphe, il est possible de ne mentionner que la pagination dans la nouvelle parenthèse.
• Ex. : C’est précisément ce qu’affirme Hanna Pitkin (1967, p. 10). Elle ajoute d’ailleurs que… (p. 12).
Il est possible de mettre en valeur une référence par rapport aux autres dans une parenthèse en la mettant en premier et en faisant précéder les suivantes de la mention « voir aussi » (ou de la mention « cf. », mais uniquement s’il s’agit de comparer les passages auxquels il est fait référence).
• (Habermas, 2001a, p. 87 ; voir aussi Iyengar et al., 2005)
Dans la bibliographie en fin d’article :
Les références apparaissent dans la bibliographie finale par ordre alphabétique du nom du premier ou de la première auteur·e. (En dessous de huit auteur·es, tous les noms sont mentionnés.) Les prénoms sont indiqués en entier.
Les publications d’un ou d’une même auteur·e sont classées par ordre chronologique en partant de l’année la plus ancienne.
Si plusieurs textes du ou de la même auteur·e sont publiés la même année, il faut ajouter a, b, c, etc. à la suite de l’année et les classer selon cet ordre.
Respecter le format suivant :
– Ouvrage :
• Pateman Carole, 1970, Participation and democratic theory, Cambridge, Cambridge University Press, 1970
– Ouvrage collectif :
• Lagroye Jacques, Offerlé Michel (dir.), 2011, Sociologie de l’institution, Paris, Belin.
– Chapitre d’un ouvrage collectif :
• Mansbridge Jane, 1988, « The Equal Opportunity to Exercise Power », in Norman E. Bowie, Equal Opportunity, Boulder, Westview Press.
– Article :
• Brown Mark B., 2007, « Can Technologies Represent their Publics ? », Technology in Society, 29 (3), p. 327-338.
– Thèse :
• Mazeaud Alice, 2010, La fabrique de l’alternance. Poitou-Charentes et la démocratie participative (2004-2010), thèse pour le doctorat de science politique, Université de La Rochelle.
– Texte en ligne :
• Iyengar Shanto, Luskin Robert C., Fishkin James S., 2005, « Deliberative preferences in the presidential nomination campaign. Evidence from an online deliberative poll », Research papers of the Center for Deliberative Democracy, http://cdd.stanford.edu/research/ (accès le 01/09/2010).
– Rapport :
• Groupe d’experts sur la science et la gouvernance de la science, 2007, Science and Governance. Taking Knowledge Society Seriously, Commission européenne, http://ec.europa.eu/research/science-society/document_library/pdf_06/european-knowledge- society_en.pdf (accès le 30/03/2011).
– Texte non publié :
• Bonneuil Christophe, Levidow Les, 2011, « How does WTO know? The mobilization and staging of scientific expertise in the GMO trade dispute », manuscrit.
Pour les ouvrages classiques cités dans une autre édition que l’édition originale, indiquer entre crochets la date de l’édition originale en langue originale juste après le titre.
• Ex. : Michel Louise, 2014 [1886], Mémoires de Louise Michel écrits par elle-même, Cork, Éditions Ligaran.
Pour les ouvrages cités en traduction française, préciser le nom du traducteur ou de la traductrice.
• Eliasoph Nina, 2010, L’évitement du politique : comment les Américains produisent l’apathie dans la vie quotidienne, trad. de Camille Hamidi, Paris, Economica.
Remarques :
– ne pas indiquer [et] ni [&] avant le nom du dernier ou de la dernière auteur·e pour les ouvrages collectifs, séparer simplement chaque nom par une virgule
– utiliser la mention [(dir.)] pour les éditeurs ou éditrices, et directeurs ou directrices d’ouvrages (après le dernier nom). Ne pas utiliser [(ed.)], [(éd.)] ou [(eds)].
– utiliser [p.] pour indiquer la pagination, et non [pp.]
– ne pas indiquer les collections
– pour les livres édités à l’étranger : mettre l’ensemble des informations (ville d’édition, etc.) en français (Londres, et non London par ex.). Les majuscules peuvent être conservées dans les titres des ouvrages anglophones.
– utiliser « in » (sans italique), et non « dans » pour introduire l’ouvrage d’où est issu un chapitre
– indiquer les numéros de page en entier : [p. 327-338] et non [p. 327-38]
– réserver exclusivement l’usage des parenthèses :
• à la mention [(dir.)]
• aux numéros de revues (indiquer : [29 (3)] ; et non : [29, numéro 3]
APPELS DE NOTE
Les appels de note sont situés, le cas échéant, avant la ponctuation (et après les guillemets fermants).
Ex : Si le jugement de John Dewey est encore d’actualité2, il faut reconnaître…
Si la phrase tout entière est une citation, l’appel de note en fin de phrase se situe aussi après le guillemet fermant, mais celui-ci est placé après la ponctuation finale.
Ex. : « Le peuple soumis aux lois doit en être l’auteur. »1
CITATIONS
Les citations de plus de trois lignes doivent être sorties du texte par un retrait à gauche, un espace avant et un espace après, avec guillemets. Elles commencent toujours par une majuscule, même si elles sont introduites par une phrase s’achevant par deux points [ : ]. Ne pas les faire précéder par une virgule.
Ex. : Jane Mansbridge affirme ainsi :
« L’exigence de proportionnalité est renforcée par le fait que, dans la pratique, presque toutes les assemblées démocratiques ont un caractère à la fois agrégatif et délibératif, et que pour garantir la pleine légitimité normative de la fonction agrégative, il est nécessaire que les votes des membres des corps représentatifs reflètent toute la gamme des intérêts en conflit concernés en proportion du pourcentage des porteurs de ces intérêts au sein de la population. »1
Les citations de trois lignes ou moins sont dans le corps du texte, sans retrait. Lorsqu’elles interviennent en cours de phrase, elles commencent toujours par une minuscule.
Ex. : Simone de Beauvoir écrit en 1949 « qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question »1.
Toutes les citations en langue étrangère sont traduites.
Lorsque l’auteur·e traduit lui-même certains passages d’une œuvre étrangère ou ancienne, cela doit être mentionné en note de bas de page par l’une de ces deux mentions : (je traduis) ou (nous traduisons).
Les interventions de l’auteur·e dans le texte d’une citation (modifications ou suppressions) sont indiquées entre crochets.
Les guillemets employés sont les guillemets français (en chevrons « »), les guillemets anglais n’interviennent qu’à l’intérieur des guillemets français, quand une première citation en contient une seconde.
INDICATIONS CHIFFRÉES
Pour les dates : écrire 1995-1998 (et non 1995-98), les années 1980 (et non les années 80). Pour les siècles : « XXe siècle ». Le « e » est en exposant.
Pour les républiques : écrire en toutes lettres. Ex. : Troisième République, Quatrième République.
Pour les nombres indiquant des quantités : en toutes lettres jusqu’à seize, en chiffres arabes à partir de 17.
ABRÉVIATIONS
Chapitre : chap. (et non ch., qui s’emploie pour un chant).
Comparer avec : cf. (pour un renvoi, utiliser « voir » et non cf.).
Dernière mise à jour : 30 août 2024.